Les titres

En vente dès le samedi 17 février 2024 à partir de 09h04!

A payerne:

  • Par les Tumulus en ville
  • Centre commercial Coop
  • Kiosque Discount
  • Kiosque du Passage
  • Kiosque Express
  • Kiosque Aux Dardanelles
  • Kiosque de l'Abbatiale
  • Coop Pronto
  • Shop Calo
  • La Reine Berthe 2.0
  • Boulodrome

Dans les environs (un peu plus tard):

  • Boucherie Fischer à Corcelles
  • Denner à Cousset
  • Café du Port à Chevroux
  • Boulangerie Ruchat à Grandcour
  • Boulangerie Sébanne à Granges-Marnand

Vous étiez au courant... ?

Non ? Mais c’est la pénurie ! On ne reçoit plus rien! Semaine après semaine, la Case 3000 reste désespérément vide ! Du coup, tous les Plumiers ont chopé des ampoules dans les mains pour compenser votre absence de contribution ! Certains ont même failli péter les plombs ! On est allé direct au Court-Jus! Même l’esprit sombre et torturé de notre Mour-dessinateur de la première page s’en est trouvé obscurci! Nous voilà donc à court d’énergie mais, heureusement, pas d’idées ! Si vous vous êtes baladés en ville, depuis mercredi, vous avez pu constater que Payerne, Cité de l’énergie, mettait désormais les pédales à l’honneur! D’aucuns diront que ça ne date pas d’aujourd’hui mais, comme le disent si bien les femmes : il n’y’a pas d’homme impuissants, il n’y’a que des mauvaises langues. En plus, au niveau éclairage ça tombe bien, puisqu’à Payerne ce ne sont pas les leds qui manquent, par exemple dans les sociétés de tir parallèles, d’ailleurs. Comme si ça ne suffisait pas, voilà que plusieurs lumières (dont le lampadaire en chef) ont quitté le CDM! Les nouveaux décideurs ont déjà passé du très surfait dry january au tout nouveau dry totally, puisqu’il se privent désormais, totalement de vin(vin)!

Enfin... totalement, c’est ce qu’on nous fait croire, puisque dans les faits, Sylvain ne manque jamais une occasion de rappeler à ses anciens collègues que, s’il y’a un problème et au cas où, “papa est là” ... Une éventuelle source d’énergie électrique inattendue pourrait provenir des séances du Conseil communal ! La ligne à haute(s) tension(s) avait déjà été activée par le conseiller Bubuche (jamais “pas fâché”). Ces derniers temps, tout le monde semble être passablement énervé pendant les séances. La peur du Court-Jus gagne nos édiles, et ce n’est pas l’avocat XXL de la Commedia Dell’Arte qui vous dira le contraire. Finalement, le seul qui parvient à sauver l’honneur de ce plongeon dans l’obscurité, c’est notre Don Camillo national, l’Abbé de Raemy (fa, sol...) qui a décidé de ne pas tirer la prise (d’ailleurs, les curés ne sont pas autorisés à tirer) et qui a permis à Payerne d’avoir au moins un arbre de Noël illuminé, même si, par chez-nous, ce ne sont pas les illuminés qui manquent... Pour conclure, une pensée à méditer dans le noir : “un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais il donne autant de lumière”.

Bons Brandons à tous !

Le Mour-Jus

Bêêêêh-dito...

Bons Brandons, bande de moutons! Mais vous êtes incorrigibles : décidément, on vous fait tout gober! Désormais bien en place, le Nouvel-Ordre payernois va bientôt présider au Nouvel-Ordre mondial ! Mais oui : on vous enfume, on vous possède, on vous roule dans la farine et, pour tout dire, tas de crédules, on vous en... fera voir très bientôt beaucoup d’autres encore! Nous autres, de la Grande Loge Illumour(s)atti, avons posé sur la ville notre main d’acier gantée de fer! Et ce n’est que le début ! Même sans parler du Complot ukrainien de tonton Vladimir (beaucoup moins drôle que les Ukrainiennes qu’on pelote), le grand Complot universel se met en place, et nous en sommes les vrais instigateurs... Evidemment, ce vaste Complot mondial ne pourrait tisser sa toile perfide s’il n’était composé lui-même d’une multitude de sous-petits Complots régionaux. Vous en découvrez quelques-uns sur notre première page! Tout d’abord, le Complot du lobby hystérico-féministe, à l’assaut du bastion débilito-masculino-réactionnaire (qui a dit “de droite?” sortez tout de suite!), Complot qui assoit encore plus qu’il n’était nécessaire, la réputation de Payerne au panthéon des bourgades à crétinerie régressive : après Chessex, on avait encore vraiment besoin de ça... Mais bref! Voilà qu’ensuite on apprend que la Reine-Berthe était sans doute moins bourguignonne que brésilienne, et que dans la froidure du tombeau de l’Abbatiale, si elle se les gèlent, c’est qu’il y’avait forcément anguille sous roche, non ? Passons sur les diverses psychoses et névroses liées à la 5G, et concentrons-nous un instant sur LE Complot peut-être le moins frappant, mais également le plus insidieux : l’expulsion du parlement cantonal du seul Député broyard qui faisait le poids (quoique pas toujours fin-fin...) Il aura dorénavant plus de temps pour l’apéro (mais, hélas pour lui, ce ne sera plus systématiquement offert...) et pour traiter ses betteraves ! N’oublions pas évidemment le Complot fomenté par un club local d’ultras du CP Berne pour empêcher la construction d’une patinoire à Payerne... Ont-ils eu peur que les gamins qui se formeront sur la glace broyarde rejoignent ensuite l’ennemi juré Gottéron? En tous cas, voilà encore une belle brochette d’hurluberlus qui ont reçu le puck! Enfin, le pire des Complots n’est pas de notre fait, mais a été fomenté par l’équipe des rigolos de l’Aquarium communal, pour avoir la peau d’une part importante de notre beau patrimoine payernois, au grand dam d’un géomètre retraité : la Vente a été débaptisée ! C’est désormais une brasserie assez bien rénovée, mais sans âme et sans cachet (qui reste fermée au Tirage et aux Brandons!) Se penchant sur le problème, la Grande Loge des Illumour(s)atti considère qu’on aurait au moins pu garder le “V” de l’enseigne, ce qui aurait permis de rebaptiser le cani “La Vergogne”, par exemple! Mais comme le gouvernement communal en place n’en manque pas (voir la combinazione pour la Grange-de-la-Ville...), toutes les magouilles, feintes, arrangements, retours d’ascenseurs, copinages et autres Complot(s) ont encore, dans notre belle ville de Payerne, de beaux jours devant eux ! A tous : santé, conservation, et bons Brandons !

Le Grand Mour-aître de “la Loge”

Et pourtant, je vous l’Edito...

...mais oui! Il y’a à peine une année!

Mais comme d’habitude, vous n’écoutez rien! Alors je vais être obligé de vous remettre le nez dedans : comme l’annonçait la dernière page de notre canard 2020, c’est bel et bien le jour d’après, et en plus, c’est LE MERDIER, décliné en "quarantaine" à la "une" de cette édition "collector" ! Après plusieurs débats, et quitte à foncer dans le mur, les Mours ont décidé qu’il valait mieux y aller en rigolant et se sont attelés à la rédaction de cette édition forcément particulière... comme l’est notre première page : décortiquons!

D’abord il y eut un petit virus même pas menaçant: la Chine, vous pensez bien, c’est si loin, ma brave dame! Le problème, c’est que tout s’est emballé et j’ai plutôt l’impression que personne ne maitrise rien de chez rien, la toupie étant totalement hors de contrôle! Outre le fameux virus et nos "amis" chinois, vous y trouverez notre tout nouveau pote, le pangolin, les autres petits sujets suivants se passant allègrement de commentaires, jusqu’à la petite bouteille de gel hydroalcoolique... qui dégouline dans le verre du poivrot du dessous (je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais qu’est-ce qu’on picole à la maison, depuis le début de ce Merdier...) On trouve ensuite la fameuse boîte de Dafalgan de notre inénarrable ministre Leuba, quelques milliards supplémentaires à injecter dans l’économie, des courbes inquiétantes qui ne cessent de grimper et la liste de tous les trucs divers qui ont fermé boutique...

On n’oublie pas une canne pour appuyer nos chers ainés ("chers" au sens premier du terme...), les pauvres qui se retrouvent en première ligne pour l’intubage final (attention à l’orthographe, typo : intubage...) et le seul truc qui reste ouvert et en plein regain d’activité: les cimetières !

On note encore la mise à mal de notre sacro-saint fédéralisme, quelques fêtes de familles à organiser dans des cabines de téléphone et nos chers Brandons, annulés pour la seconde (et dernière ?) fois ! Quant au vaccin... allez savoir ce qui va encore sortir des seringues, en fin de compte ! Un truc pire... ? Alors au final, c’est parti de où, tout ça ? Laboratoire militaire ? Enculage frénétique de pangolins ? Ou, finalement, est-ce-que tout cela ne viendrait pas d’en-haut ? Le Grand Patron n’en n’aurait-il pas marre de toutes nos conneries et n’aurait-il pas confié à son pote du sous-sol, le job de liquider une fois pour toute l’Humanité? Et bon, voilà, quoi: un petit virus pas si grave au départ... qui mutera et mutera encore... C’est un peu moins impressionnant que l’Apocalypse mais à la fin, c’est le résultat qui compte, pas vrai ? Le décompte final est-il enclenché ? La "une" se termine donc par une horloge... et je vous laisse encore réfléchir à ceci :

"Le coup le plus rusé que le Diable ait jamais réussi, c’est de convaincre tout le monde qu’il n’existait pas". Pensez-y : c’est bien plus intrigant et dérangeant qu’il n’y paraît... Méditez-moi ça, et à l’année prochaine... si tout va bien !

Le Mour sous oxygène

ApocalyptEdito...!

"Je regardai et je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom "la Mort" et le séjour des morts l’accompagnait. Il reçut le pouvoir, sur le quart du district Broye-Vully, de faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la peste, par les bêtes sauvages, par le coronavirus et par Greta Thunberg. Puis il y’eut un grand tremblement de terre. Le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles tombèrent sur Vers-chez-Perrin. Les rois de la terre, l’amicale des Pèdzes, des Potes-au-Feu et même celle des anciens Abbés-présidents des Tireurs, les grands, les riches, les puissants, tous les esclaves et même les socialistes se cachèrent dans les cavernes du Creux de Nervaux. Et ils disaient aux pierres et aux rochers : Tombez sur nous et cachez nous loin de celui qui brigue le trône de la Syndique et loin de la colère des Conseillers communaux."

Voilà, peuple de Payerne! Voilà ce que disent les Ecritures ! A genoux et repentez-vous, car le malheur est sur vous!

Ami lecteur, salut! Nous t’avons concocté cette année une petite mais très gentille farce, puisqu’à l’achat de notre vénérable canard, tu as eu la surprise de te retrouver directement en dernière page! Eh oui, en cette 125e année de Fête, nous nous fendons d’une première ET d’une dernière page "titres" (en plus de bien d’autres jolies surprises à l’intérieur...) La dernière page, d’abord: "Le jour d’après" préfigure le noir destin de notre cité, expliqué en ouverture de cet édito, au lendemain du départ à Lausanne de notre "Châtelaine" préférée, dont tu trouveras une allégorie sur notre "vraie" première page! Pour ce fameux "jour d’après", toute ressemblance avec les sombres propos de la nouvelle Fifi Brindacier venue des glaces serait donc purement fortuite (comme disait l’autre : "Merci, les Suédois, pour Abba, pour Björn Borg et pour le prix Nobel mais de grâce : reprenez la gamine !"). Quant à notre "une" de fête, comment pouvait-on éviter de mettre la Conseillère Christoche-première en vedette? La voilà partie avec armes, casseroles, dossiers encore ouverts et bagages au château "5 mères" (celle-là, elle n’est pas de moi, elle est de Broulis... qui a davantage d’humour en goguette que derrière sa calculette). Qui reprendra le trône de fer ? André Minijo-Lannister ? Tyrion Bersier ? Henchoz-Stark de Winterfell ? Les paris sont ouverts et la succession devrait donner lieu à un beau et savoureux merdier dont seul le PLR régional a le secret depuis cette ridicule fusion contre nature. Tout ce qu’on espère, c’est que le prochain Roi des Sept-Couronnes sera nommé d’ici aux prochains Brandons! Et même, avec un peu de chance, qu’il aura fait mentir notre dernière page en nous prouvant que nul n’est indispensable et que les cimetières sont remplis de gens irremplaçables !

A tous bons Brandons, bon 125e anniversaire et surtout courage pour la suite !

Texte tiré de la Lettre de St-Mour aux Corinthiens

O Tempora! O Mores!

Je vous parle d’un temps... où les politiciens s’engageaient avant tout pour le bien commun, temps béni où cet engagement n’avait rien de carriériste... Ahlala! L’intégrité! La droiture morale... Je ne sais plus déjà qui disait: “Etre honnête, c’est pratique: on n’est pas obligé de toujours se souvenir de ce qu’on a dit!” Pourtant, sans te faire l’injure, Ami lecteur, de traduire le titre de cet édito, figure-toi que, malheureusement, les temps changent! Notre édition 2019, acquise à prix d’or, met en valeur l’essence même de notre Journal (j’allais écrire “notre Institution”) puisque, comme son titre le souligne, la Rédaction de notre canard s’autogarantit 100% Incorruptible! Je ne parle pas des (très) rares correspondants qui glissent à notre intention un petit billet avec leurs bonnes histoires car, à l’instar du tigre du Bengale, d’un Municipal payernois doté d’un minimum de jugeote ou d’un Conseiller communal socialiste sur la Banquise, cette race est quasiment en voie d’extinction... Mais décortiquons un peu notre “une”, si tu le veux bien...

Notre masqué endosse, cette année sa tenue de vengeur Incorruptible, cerné et entouré par les sujets qui font notre actualité.

En guise de hors-d’œuvre, commençons (c’est pas classique...) en musique! La Municipalité remet l’art lyrique à l’honneur en proposant en ville, chaque jour, une représentation librement adaptée du chef d’oeuvre de Richard Wagner: “Le Vaisseau Fantôme”... Pour faciliter ses déambulations dans les rues payernoises, notons ici que le bateau a simplement été remplacé par un bus urbain! En dehors de cela rien n’a changé au sujet de l’intrigue: un navire (donc lire “un bus”) maudit, sans équipage et surtout sans passagers... est condamné à errer éternellement à la dérive, jusqu'à la fin des temps... C’est pas gai, je sais, mais c’est de la grande musique alors on se tait et on écoute! En parlant de bus et d’incorruptibilité, La Poste fait fort en prenant les sens obligatoires à l’envers (voir rue du Simplon) et en prenant pas mal de sens interdits en matière d’investissements, de contournements et de détournements... pas seulement routiers! On poursuit en faisant un petit tour de carrousel avec un futur ex-Syndic du voisinage, qui n’a pas eu les jetons de se lancer dans la commission des Forains des Tireurs à la Cible... Là aussi, les manèges, manigances et combinazione de la "Mafia verte" donnent... le tournis! Un qui n’a pas peur d’avoir le tournis, c’est l’ami Pierrot, la grande gueule de piogre (en patois genevois dans le texte) du bout-du-lac de Genèèèève! Celui-là, sa chandelle n’est pas prête d’être morte et il faudra le tuer pour l’enterrer, voire le vider pour faire une guérite sur la Place des Bastions! On passera également sur les petits oublis déductibles ou non du Syndic de Montreux (espérons qu’il ne prendra pas une Ve-vey-ste aux prochaines élections), quelques menus frais de voyages d’un Conseiller d’Etat en charge des Finances, vert de rage pour l’occasion ou d’une Conseillère aux Etats qui a presque fini rose de honte! On passe également sur nos pauvres oreilles cassées par le chantier de la Place du Marché, sur le trône de Syndic(que) bientôt vacant ou sur les arrêts de bus qui se sont multipliés, en ville, depuis mardi dernier (quels farceurs, ces VB!)

Ami lecteur, toute la Rédaction de “L’Incorruptible” te souhaite de beaux et bons Brandons et, pour terminer sur une note de réflexion pour les quelques élus qui nous liraient, voire peut-être qui nous comprendraient, rappelons les paroles de notre cher Hymne vaudois, pour mémoire et application au quotidien: "Que dans ces lieux règnent à jamais l’amour des lois, la liberté, la paix"! Et comme dirait en guise de point final notre Finfin national (qui s'y connait et s'y sent “si bien”) en direct de la buvette du Parlement:

santé!

Le Mour Alisateur

Balance ton Cochon! (rouge)

Ami Branleur(euse)... Oh! Pardon: Ami Brandonneur(euse): salut!

Tu viens d’acquérir et tu tiens entre tes mains le dernier rempart de la morale, le fleuron du bon goût et, merde, quoi, à la fin: le garant de la bonne moralité payernoise que représente notre traditionnel et vénérable Journal des Brandons!

Après d’âpres séances de rédaction houleuses sur le choix de la ligne rédactionnelle et du titre de notre édition 2018, finalement, ce sont les quatre filles de l’équipe des Mours (donc la majorité...) qui l’ont emporté et nous ont encouragé à balancer, non pas notre porc, mais notre cher Cochon rouge...

La première page aurait pu comprendre la liste de tous les Tâtes-culs de la ville et du district, mais il aurait fallu passer notre édition au format mondial, ce qui n’arrangeait pas nos vendeurs et distributeurs... Raison pour laquelle nous avons, comme de coutume, préféré imager le propos!

Mais nous innovons également! Si les distributeurs ne les ont pas revendus pour boire, tu trouveras, avec cette édition, une boîte de jolis crayons de couleurs! Nous te proposons donc de rallier la secte locale des Colorieurs, fondée par notre ami René, ex-scribe municipal! Tu trouveras dans ce journal tous les renseignements nécessaires pour participer à notre grand concours de dessin: encore une fois, les Mours sont à la pointe de l’interactivité!

Pour revenir à notre “une” traditionnelle, tu y découvriras quelques petits coups de canifs sur l’année brandonnesque écoulée... Au sommet, tout d’abord (ce qui ne reflète pas vraiment le classement de la première équipe...) le premier prix de la tombola du Stade qui a sans doute été remporté par un piéton anonyme (notre enquête sur Marmiton est toujours en cours...) Ensuite, beaucoup de place, sur notre “une”, pour les cacas, crottes et autres déjections, activement combattu-es par nos édiles pour refaire de Payerne “une ville propre”! Nous on savait déjà, sans vouloir faire les sales langues, que l’Aquarium communal ne manquait pas de propres-à-rien! On trouve aussi le nouveau bus local, des pavés premier-choix pour la future Place du Marché (sans Manor...), la nouvelle tradition coulante et odorante de l’équipe à Vinvin, un petit hommage à notre nouveau “Consigliere Federale” tessinois, le nouveau jeu de cons inventés par le bouillant Président du FC Sion, un missile nord- coréen (du type de ceux qui ne devraient pas tarder à nous tomber sur la gueule...) et, enfin, le projet de transformation de la coupole de notre bon vieux Palais Fédéral, redessiné par l’ancien Conseiller national Tâte-Cul-Buttet!

Ami lecteur(trice), nous te souhaitons de ne pas trop “rosir” en découvrant les anecdotes relatées dans ce canard, de ne pas devenir “vert” de rage si tu y figures, de ne pas rire trop “jaune” en découvrant les pataugées de tes amis ou connaissances et, enfin, de ne pas trop boire pendant la fête pour ne pas égarer ton “bleu”! Belle année, belle santé et surtout: bons Brandons!

Le Mour-celeur

Le saucisson est mort...

Vive le Saucisson! Et voilà! Un de plus en moins! Mais que va-t-il nous rester, tonnerre de Dieu? On avait déjà perdu le Petit-Bâle, les Masquées, les Bouchons vaudois du Pote, le Journal de Payerne, le Démo... Voici venu le tour de notre cher Saucisson! Dépouillé de son label local, le voilà prêt à être pendu haut et court, comme les saucisses à Tchounet!

On pensait que l’attaque fatale viendrait des véganes ou autres bouffeurs de graines, mais non! Perfidement, lâchement poignardé et bouchoyé par ses propres disciples! On imagine ses dernières paroles: O IGP! Avant que le coq ne chante, tu me renieras trois fois...! Les Judas! Les traîtres! Les vilains! Voilà le pourquoi du comment du titre de notre édition 2017... Et pour reprendre les sujets évoqués en première page (une nouvelle fois de qualité labellisée...), on remarquera que certains artisans régionaux développent encore des produits du terroir! Ainsi, les céréales Bossy se sont lancées dans la confection artisanale de pop-corn, pendant la nuit du Tirage... Succès flamboyant, bref: un coup... fumant! On ne s’appesantira pas sur la fusion des dzos du coin, qui, comme la grenouille de La Fontaine, cherche à se faire plus grosse que le bœuf de Payerne: gare à l’implosion! Notre chère Abbatiale regagne, elle, son lustre d’antan et l’embellie vient d’en haut, par un tout beau clocher flambant neuf! Pour revenir à un autre coup fumant, comment ne pas mentionner (j)aussi les fameux pionniers de S3? Comme à la Bénichon: tous ceux qui sont pas d’Aumont: en pas du pont! On ne pouvait pas non plus résister à goriller (tiens, ça aurait fait plaisir à Friquet...) le tout nouveau bouffon de la Maison-Blanche: là aussi, les Ricains ne vont pas tarder à ressortir les drapeaux sudistes et nordistes, comme au bon vieux temps! En tous cas, ce sera un sujet que ne couvrira plus C.A. du 24Heures, puisque le rigolo en chef des Tumulus vient de parquer sa poussette devant le HIB, qui a créé un poste rien que pour lui! On espère pour lui que ses anciens employeurs ne se rendront pas compte que son ancien poste avait été créé... pour rien! Pendant ce temps-là, le Stade-Payerne rentre d’exil et jouera tout à domicile, au second tour! Pour une fois la pression ne sera pas qu’à la buvette... On ne pouvait pas oublier non plus notre Rodger national qui est comme le bon vin: meilleur avec les années! Encore un petit clin d’œil sur les élections cantonales pour la (re)conquête de la majorité par la Droite... et là, contrairement à Roger, c’est pas gagné! On retrouve aussi notre Friquet national! Ne manquez pas de lui faire une petite visite à St-Jacques, il y’a une surprise qui attend les copains dans le fourneau... ou dans les sauts-de-loup de la laiterie! Pour finir, un coup de balai sur une obscure affaire de billets de lutte (ndlr: de fort mauvais goût!)

Cher lecteur, nous te souhaitons encore de belles années de dégustation de bonne charcuterie payernoise et arrosée de sorte, comme il se doit!

Belle année, belle santé et surtout: bons Brandons!

Le Ronge-pelures

Allez scier!

Non, non... il ne s’agit pas là de l’interjection si chère à notre Milon national, mais bel et bien de la mission donnée aux deux armaillis de notre première page, dzodzets jusqu’au bout du bredzon, pour confectionner la précieuse Sciure indispensable à la Fête fédérale de lutte d’Estavayer, qui aura tout prochainement lieu à... Payerne Notez qu’ils n’ont pas tort de venir en chercher dans notre bonne ville de Payerne puisque, question Sciure(s), on en connait un rayon!

On peut même en trouver dans le bouiboui du futur(?) municipal Be-Be-Be-Bernard de la Banquise, même si chez lui, ça bosse davantage avec la lime qu’avec une scie... Mais pour revenir à notre “une”, elle fait également honneur à notre tout nouveau, tout beau et tout flambant neuf pont de Guillermaux, sur lequel rien n’a vraiment changé...: après avoir été le premier ouvrage de ce type en béton, il a été, pour tout le monde et pour plusieurs mois, un ouvrage plutôt... embêtant! On ne vous parle pas des accès pour les derniers fidèles de l’église ou pour les riverains... Il y’avait là de quoi distribuer toute une série de coups de pied au Cube! Heureusement, tout est rentré dans l’ordre et on pourra désormais se concentrer sur le nouveau “look” et sur la nouvelle couleur de notre vénérable Abbatiale! Comme dans la cave à Serge, le blanc devrait dominer... On se réjouit du prochain (?) enlèvement des échafaudages, en espérant qu’on ne se retrouve ni devant le fait accompli, ni devant une chapelle orthodoxe, sur une île grecque!

2016 sera aussi une année électorale... Et vu le gabarit des candidats Minijo et Botoille, les urnes devraient être pleines à craquer! Ça changera les idées à notre Brélaz local, qui a dû se démultiplier pour tenter de mettre la main au collet des noyeurs de lapins du parc aux biches... On notera aussi que, lorsque les médias s’en mêlent et que ça nécessite une Mise au point, Christelle n’oublie pas de se mettre en valeur en court-circuitant le municipal responsable... Que voulez- vous, on a un plan de carrière ou on n’en a pas... Et concernant cette fameuse affaire de lapins submersibles, le trésorier des Plumiers pourrait renseigner, au cas où, depuis le temps qu’il noie des poissons!

Pour revenir à nos bidons de Sciure, on relèvera encore que la Scierie nous expédie désormais des flots de migrants, ce qui met particulièrement en joie Vinvin et son orchestre, car l’ambiance dans les bastringues régionales promet d’être du tonnerre, surtout si on se réfère au récentes festivités organisées à Cologne... On n’oubliera pas, pour terminer, les Laurel et Hardy du foot international, le fameux duo de clowns bien connus Platoche & Blatter qui, comme les sympathisants de Daech, commencent tous à nous faire particulièrement scier! Cher Lecteur, tu peux dès maintenant déguster ton grand seau de Sciure accompagné, comme il se doit, d’un bon coup de blanc de nos coteaux de Lavaux! Bons Brandons, bonne santé et, comme le disent si bien nos amis anglo-saxons : Sciure later!

Pour les Plumiers: le Mour le moins sciant de toute la bande...

Ebola...! Oh, pardon: et voilà!

N’en faites surtout pas une maladie, mais pour vous qui avez passé sans encombre et sans occlusion intestinale les Fêtes de fin d’année et leur traditionnel cancer du Nouvel-an, pas de doute: 2015 a bel et bien déboulé dans nos vies comme une escouade de barbus fanatisés dans une salle de rédaction parisienne à l’heure de l’apéro...

Comme disait Cavanna, illustre ancien de Charlie Hebdo: "les cons gagnent toujours: ils sont trop nombreux"! Et, effectivement, on n’est plus qu’à quelques encablures de la victoire définitive des cons les plus dangereux qu’on ait pu redouter! La Suisse, la Broye et Payerne sont encore à l’abri (quoique...) mais pour combien de temps? Contrairement aux souhaits de l’équipe à Vinvin, l’actualité de cette dernière année carnavalesque ne nous a pas laissés de glace... Et la fine équipe rédactionnelle du Virus vous a concocté une édition à la bonne humeur infectieuse, contagieuse et épidémique.

En couverture, vous constaterez que notre cher Masqué est bien mal pris: les fesses à l’air, sous la menace d’une seringue peu rassurante... Sans doute une piqûre de rappel au CDM qui monte allègrement ses prix à la Halle des Fêtes au risque de faire vertigineusement chuter sa cote de popularité... Vous trouverez aussi, dans le joyeux foutoir de cette chambre d’hôpital du HIB, un petit monument aux morts qui enterre joyeusement la fusion avec nos chers voisins (apparemment seuls les Chevrotins ou les Corçallins auraient rapporté financièrement quelque chose, mais, là encore, on tire un Trey...); des primes d’assurance maladie qui s’envolent vers la stratosphère; un petit jeu amusant sur le thème "Mais où est passé Charlie?"; des lectures de chevet édifiantes et à l’humour glaçant (lequel des trois fait le plus peur: la Bible, le Coran ou Via Secura?). Bien entendu, vous n’oublierez pas de prendre vos capsules d’iode en cas d’attaque thermonucléaire (ah! s’ils avaient eu ça à Hiroshima...) et vous pourrez aussi monter en Boulex avec vos petits mouchoirs (prenez les vôtres, ne les ramassez pas sur place...) pour faire un adieu ému à nos amis gitans... Vous pourrez aussi passer un mouchoir à notre petit Sha-qui-pleure (eh oui, si cette banane de Dzemaili n’avait pas ajusté le poteau, nous aurions pu vous proposer un petit Sha-qui-rit!) Dommage... Heureusement que Rodgeur et Stan ont remis les pendules à l’heure et à Lille pour faire passer la seille de goals reçue au Brésil par nos chers voisins: juste et jouissif retour de manivelle! Une victoire nette et sans bavure, beaucoup moins indécise que le bras de fer déclaré entre le Franc suisse et le reste du Monde... Là aussi, il faudra jouer serré!

Et voilà cher Lecteur, tu as en mains toutes les clés pour décoder le profil génétique de notre Virus 2015... Et si tu le chopes, tu l’auras bien cherché, mais ne le refile pas à ton voisin: il n’avait qu’à l’acheter! Bons Brandons et bonne santé!

Le Mour incurable

Ah ben... 'fallait pas!

Une fois de plus, cher et maladroit lecteur tout est de ta faute!

Pour déchiffrer le titre de notre édition 2014, tu n’as rien trouvé de mieux que de tourner notre première page à l’envers... du coup, l’avion de notre cher Masqué est parti en Vol Plané ! C’est malin ! Déjà qu’à Payerne, avec tous nos chantiers, on avait passablement l’air con, voilà qu’en plus, cette année, on va avoir l’air quatorze !

Heureusement: nous n’avons pas l’exclusivité de la connerie régionale, loin s’en faut! Comme disait Einstein, deux choses sont infinies: l’univers et la bêtise humaine, quoiqu’en ce qui concerne l’univers, il n’y a pas de certitude absolue! Et comme ajouterait un célèbre humoriste: il y’a tellement de cons cette année qu’on a l’impression que les cons de l’année prochaine sont déjà là!

Peut-être à Montagny, au sein du conseil? Ou chez les “jamais contents” du même bled?

Sur la banquise voisine, où on peut désormais admirer un enclos digne des tyrannosaures de Jurassic-Parc pour protéger les ours blancs du redoutable loulou Droopy? A ce stade de l’idiotie, on se permettra de considérer que la seringue cantonale aurait permis une issue plus rapide à cette crise suraiguë de bêtise animalière...

Bref, cherchons encore plus fort et découvrons les initiales de nos lauréats 2014: C.D.M. comme... Commune De Morens! Et ce n’est pas un avertissement sans Frey, puisque voilà bel et bien un cas flagrant de sottise dépassant les limites givrées du supportable! Non contents d’emmerder le monde depuis des lustres (sans être pourtant des lumières ni oublier d’encaisser les subsides, évidemment...), ces guignols prennent encore et toujours un malin plaisir à glisser les bâtons de leur stupidité congénitale dans les roues du développement régional!

C’est pourquoi la rédaction du Vol Plané a longuement hésité entre plusieurs mesures de rétorsion à l’encontre de ces mauvais sujets: ériger une palissade autour de leur village pour les couper du monde civilisé, leur interdire l’accès à tous les commerces de la place, tous les envoyer en port-dû au fin fond de l’Afrique, etc... Finalement, vivement une prochaine fusion des communes (si chères à nos amis dzodzets...): même si elle aura le tort de rapporter encore des sous à ces requins, elle fera, espérons-le, définitivement disparaître leurs armoiries de l’abécédaire cantonal!

Mais terminons calmement sur une note plus zen, avec un proverbe chinois bien dans le vent et très aérien: “Tu ne peux empêcher les oiseaux de chagrin de survoler ta tête, mais tu peux les empêcher d’y construire leur nid.”

A toutes et à tous (sauf à ceux de Morens): bons Brandons, bonne fête et santé !

Le Mour de contrôle (au bord de la piste)

Attention typo: Vol “Plané”, et pas “Blané” (V.B.), on a déjà suffisamment d’ennuis avec cette bande...

Eh, dites, oh! Non mais vous avez remarqué...?

L'Atlantide, Le Colisée, l'Acropole... C'est quand même incroyable! Tout finit par tomber tout seul! Bien sûr, en vertu du sacrosaint "y'en a point comme nous", à Payerne, on se croyait à l'abri des ruines et de la décrépitude...

Eh bien c'est raté! Voilà que notre vénérable, notre belle, notre si chère Abbatiale se casse aussi la gueule... Elle penche, elle ondule, elle tangue, elle grebolle, bref, pour utiliser le seul terme correct en la circonstance: elle est bel et bien en train de déguiller!

Donc, si l'Histoire devait nous avoir enseigné quelque chose, c'est de ne pas s'entêter à empiler des pierres et des cailloux les uns sur les autres au-dessus d'une hauteur raisonnable. Si une chose pareille vous arrivait régulièrement, vous le remarqueriez, non? Et vous ne tenteriez pas d'y remédier? Ben alors! Mais bon... En architecture comme en politique et dans des tas d'autres domaines:
"y'a toujours des cons qui s'obstinent..."

Enfin bref, le symbole le plus cher au cœur des Payernois est en train de déguiller, et personne ne lève le petit doigt pour nous aider! Même Christelle est obligée de poser dans des calendriers! Quelle abnégation! Quel esprit de sacrifice! Winkelried enfin réincarné! On lui souhaite bien du courage...

Cher lecteur, tu as donc compris le sens et la signification du titre de notre édition 2013... Tu repèreras, sur notre première page, une petite pensée très émue pour un ancien du CDM, une chaise du Petit-Bâle à Ida, recollée par le menuisier Mini-Jo des Hameaux en un temps record, puisqu'elle était de retour à peine deux ans après.

Tu verras aussi qu'à Payerne, on a inventé le fusil à onze coups (double-cartouche à plomb), très pratique, puisqu'il vous assure contre les pendules au Tirage! La seule condition pour l'utiliser: brailler assez fort et engueuler tout le monde dans le stand!

Plus bas, c'est l'arrivée des chasse-neige sur notre Aéropôle, puis les taxes toujours plus nombreuses qui déguillent le budget des familles...

Sans oublier notre ancien préfet, adepte de la Cornemuse et toujours aussi malin, puisqu'il arrose la Fête cantonale des chanteurs vaudois à pleines barriques de Chianti et de Fendant!

Ne revenons pas non plus sur les exploits de nos skieurs, qui déguillent dans les profondeurs des classements, ni sur Piguet, le pirate de la Cofi qui lorgne sur le trésor cantonal, et espérons que le syndic de Bussy, après avoir emmerdé tout le monde et bloqué tous les dossiers des autres pendant des années, trouvera enfin le bon plan de montage pour son magasin Ikea...

Si on ajoute à tout ça le service après-vente de chirurgie du HIB (assuré par la Martine à Fino), on laissera la crevaison finale à tous les rois du vélo, dopés ou non, à l'honneur chez nous en cette année de Tour de Romandie, puisque les pédales, c'est pas ce qui manque ni à Payerne, ni dans les bois environnants!

Cher lecteur, nous te souhaitons de bons Brandons ! A ta santé, mais sans trop en abuser... pour ne pas déguiller !

Le Mour qui branle... sans tomber

Eh (g) y (p) to (illisible...) 2012

Evidemment: ça pouvait pas plus mal commencer Un journal intitulé "L'Illisible", c'est un peu comme un vin qu'on baptiserait "L'Imbuvable", un socialiste "Le Travailleur" ou un municipal "L'Intelligent"... quand ça part mal, ça part mal! En parlant bien entendu de la une de notre estimé canard, et pas du mandat de notre nouvelle et pimpante syndique, quoique... quoique...

"L'Illisible", donc, est le titre de notre édition 2012 (la der' à ce qu'il parait... mais quelle déception, le 23 décembre prochain, quand rien ne sera arrivé et que tout le monde devra aller bosser...). Même le plus flapi de nos (é)lecteurs UDC (nouveau à Payerne) aura donc compris qu'il s'agit d'une allusion très lisible à nos désormais fameuses et renommées étiquettes de pinard (les étiquettes qui sont renommées, pas le vin, quand même...), étiquettes que tout le monde s'arrache (pardon: que tout le monde arrache...). Le sujet a déjà fait couler plus d'encre que de Bertholod, ce qui n'est jamais bon signe... Pourtant, tout partait d'un louable effort: redorer le blason de nos cépages, ramener nos vignobles en pleine lumière et redonner à nos vins la place que Christelle leur destinait: la première et rien d'autre! Après avoir engagé les plus habiles gâchettes et plus fines lames de tire-bouchon du coin pour faire la promotion de nos crus jusqu'au fin fond du Jura (où, c'est bien connu, y'a d'l'Ajoie...), il convenait, bien entendu et malheureusement sans penser à bonifier le contenu, de frapper un grand coup en soignant la présentation du contenant! Mais une fois de plus, et surtout une fois de plus à Payerne, pourquoi faire simple quand on peut tout compliquer (aux frais du contribuable, évidemment... comme la grande présentation des vins de février, avec le Tartarin de Lucens aux fourneaux: de quoi envoyer le portemonnaie du citoyen six pieds Suter...). Le dernier municipal élu du plus petit hameau du fond des Grisons aurait sûrement fait mieux, et c'est pas les solutions qui manquaient: concours d'idées dans la population ou auprès d'artistes de la région, par exemple! Mais évidemment, ça n'en n'aurait pas assez "jeté"! Alors quitte à jeter, on a continué dans la même politique que pour l'urbanisme (à Zürich) et on est allé jeter notre fric par la fenêtre (depuis dehors, donc...) d'un designer en étiquettes (si, si : ça existe...) jusqu'à Prilly! Et le sommet, c'est que personne ne s'est rendu compte, au retour des projets, que les étiquettes de bouteilles étaient parfaitement Illisibles! Le "bon à tirer" fut dûment signé et dieu sait le nombre d'étiquettes qu'il va falloir écouler jusqu'à épuisement du stock! Encore heureux que quelques conseillers communaux aient réagi, sinon on était partis pour 25 ans et dix mille paires de lunettes "triple foyer" à s'user les quinquets sur cette magistrale plantée!

Ce qui nous ramène à étudier le cas de notre accorte syndique, que la planète entière nous envie (quoique... quoique...), et qui a elle-même signé le fameux "bon à tirer"... Ça commence bien! On se réjouit déjà de voir comment elle va se dépatouiller de quelques autres dossiers brûlants, dont le Centre islamique, mais comme on dit: c'est au pied du mur (des lamentations) qu'on voit le maçon, donc attendons... Dommage quand même pour la Vignette, puisque Friquet, toujours actif, dans le vent et à la pointe du progrès, avait déjà commandé une burqa pour Liliane...

Pour le reste de notre première page, on ne pouvait évidemment pas passer sous silence les quelques agnotis qui ont fait (et surtout défait) l'actualité de ces derniers mois, que ce soit dans le domaine sportif ou financier (ça a tendance à devenir la même chose...), sans oublier un petit hommage à Tintin, récemment remis au goût du jour en 3D...

Merci, avisé lecteur, d'avoir acheté et régulièrement payé ce canard qui, n'en déplaise aux alarmistes brandissant leur calendrier maya (pas le colonel...), ne sera pas le dernier de ta très précieuse et lisible collection... Alors à l'année prochaine, santé et bons Brandons!

Un Mour qui garde un œil sur vous...

Eh, dites... Oh! 2011

...c’est pas un peu fini? “Payerne: Ville accueillante!” (c’est marqué sur les écriteaux aux entrées de ville...). Tu parles! Essaie d’y entrer un matin de bonne heure, après dîner ou en fin d’après-midi, dans la “Ville accueillante”, tu vas voir comment ça se passe:

quel Petchi!

Que tu viennes de Grandcour, de Corcelles, de Grandsivaz ou de Montagny, c’est un calvaire! Des centaines de mètres de voitures en colonnes, qui roulent au pas, avec un petit ingrédient comique supplémentaire: les patrouilleuses scolaires! Ah celles-là! Le monde entier nous les envie!

Et, trônant en dessus de la mêlée, avec des grâces d’empereurs trisomiques, tous les brillants cerveaux de nos autorités et les esprits parfaits de notre vénéré Service des travaux... A-t-on jamais vu stupidité plus totale que celle qui brouille le regard du gros mou de fonctionnaire communal ou de municipal socialiste, bouffi d’inexpugnable sottise, qui contemple avec une expression de vache heureuse ses concitoyens transis, engoncés dans leurs véhicules encolonnés? (Merci Desproges!)

Personne n’a encore compris, parmi tous ces prix Nobel de jugeote qu’il suffirait de faire passer les piétons par-dessus ou par-dessous l’avenue Général Jomini pour régler 85% du problème?

Comme si tout cela ne suffisait pas, le Service des routes s’y est mis! Et c’est toute la région qui s’est étranglée...: déviations, changement de direction, interdictions, et encore des tas de mêmes termes à la con!

Alors le Syndic de Montagny s’est énervé (si, si: ça lui arrive!) et il s’est lâché dans les colonnes de notre confrère orange vitaminé... Remarquez, pour une fois qu’on parlait de son bled pour autre chose que le bâtiment des pompiers...

Quand on a cru que c’était enfin terminé, voilà que la route du golf a été refermée, parce que certains gniolus n’avaient pas jugé opportun de combiner tous ces chantiers pour minimiser les nuisances...

Quand on pense que nos autorités prévoient le tout prochain remplacement du pont de Guillermaux et la réfection de la Grand-Rue (durée 8 mois minimum...), ça promet !

Heureusement, Payerne s’est munie de l’arme fatale pour réussir son développement grâce à une commission d’architecture et d’urbanisme, très à l’écoute des attentes de la population, puisque, à part un architecte pas chou du tout, elle est composée de têtes pensantes des régions lausannoises et zurichoises!

Le but de l’exercice ? Ne rien faire comme tout le monde (bien sûr...) et sacquer tous les projets importants pour décourager les investisseurs! Nespresso à Avenches, Aldi à Domdidier, Ikea à Bussy? Allez savoir pourquoi...!

Ami lecteur, nous te souhaitons malgré tout de bons Brandons à Payerne, “Ville accueillante”, et laissons à Michel Audiard, cette année encore, la conclusion de cet édito:

“Quand on mettra les cons dans un rond-point, nos brillants cerveaux communaux n’auront pas fini de tourner!”

D. Boussolé

EDITO 2010

Cher ami Lecteur : si tu poses ton regard sur ces lignes, c’est que tu as (en principe) extrait une modique somme de ton crapaud pour acheter l’édition 2010 de notre canard! Sois en déjà copieusement remercié! Tu as fugiti-vement pris connaissance du titre de cette année, pour pouvoir l’annoncer en grande primeur à tante Hortense, et tu es là, enfin seul et tranquille, trônant impérialement sur la cuvette de tes toilettes, le sourire béat et le pantalon baissé sur les mollets, après avoir fébrilement arraché cette saloperie de cellophane, en te souvenant avoir suivi le même parcours, avec le dernier Chessex (hormis l’annonce à tante Hortense...), avant de t’enfermer tout aussi fébrilement dans les toilettes, pour d’autres raisons plus intimes et moins avouables... Eh oui! Les Mours du CDM ont, eux aussi, suivi des cours de marketing et ils ont décidé d’emballer leur prose annuelle, estampillée d’un macaron (c’est la mode à Payerne...) “Réservé à tout le monde”! C’est un clin d’œil un peu goguenard aux emberlificoteurs de tous poils et autres marchands du Temple qui vendent, à grand tapage, un contenant aguicheur... souvent dépourvu de contenu. Chez nous: c’est l’inverse, mais on vous l’emballe quand même! C’est sans prétention, un peu idiot car ça nous coûte cher, mais ça nous fait du bien de dénoncer certaines pratiques commerciales pour le moins douteuses et qui sentent un peu le Soupion... Voilà qui est dit! Assé ce préambule bouronnant, nous te proposons, cher ami Lecteur, d’appuyer sans attendre sur le bouton du cendrier de notre première page, car ça commence vraiment à sentir le Soupion!
Quel drôle de nom! En bon vaudois, le Soupion c’est la mauvaise odeur de brûlé, de calciné ou de fumée froide qui reste dans l’air lorsqu’un feu s’est éteint sous l’effet de la pluie, de l’eau en général, ou peut-être même à la suite d’une initiative populaire anti-fumée !
Depuis peu, dans nos bars et nos pintes: plus question de fumer! Les queues s’allongent sur les trottoirs, les mégots s’accumulent et les voisins gueulent parce que ça fait du bruit la nuit! Comme les cafards et les grillets, la cabane des boulistes a préféré partir en fusion plutôt que de voir ça! Heureusement, dans certains établissements payernois, la pipe est toujours autorisée, c’est du moins ce que nous a confirmé notre collecteur d’annonces Lalatte! Même les charcutiers de la place commencent à sentir le Soupion, puisqu’ils n’auront bientôt plus le droit de fumer, mais là il s’agit de saucisson!
Pour couronner le tout, ce début d’année 2010 commence à vraiment sentir le Soupion: la glace qui fond, la terre qui tremble, le patron de la Poste, coupable sans doute d’être trop compétent, poussé vers la sortie et qui déclare dans la presse, dans son interview post-démissionnaire : “mon départ est dû à un grand nombre de facteurs...”(!) et, comme la municipalité de la Banquise voisine, les otages de Kadhafi qui sont encore loin d’être sortis de l’Auberge! Pour les minarets, c’est le souverain qui a tranché et Oskar a commencé à vraiment sentir le Soupion puisqu’il a décliné l’invitation de l’Imam Vinvin en tant qu’invité d’honneur des Brandons! Allez savoir burqa... Sans vouloir trop se mosquée de lui, ça nous fait quand même bien rigoler de le voir s’enfuir en Coran! Bref, il y’aura encore bien de l’ouvrage pour que Payerne-la-catholique (c’est tout nouveau: ça vient de sortir...) puisse conserver tous ses clochers... Pour les cloches, en revanche, ça devrait être moins compliqué! Entre la police administrative, les urbanistes de la commune, le syndic Bisquet, son grand copain Bubuche, l’abbé-président dzo des Tireurs et Cucu, ennemis des traditions: on a de quoi voir venir! Comme disait Michel Audiard, et c’est une très jolie conclusion :
“Les cons ça ose tout... C’est même à ça qu’on les reconnait !”

Le Torailleur

EDITO 2009

Bien sûr que, cette année, vous nous attendiez au tournant (de la route de St-Jacques…)! Pensez voir: vous creviez d’envie de découvrir, au fil des pages de votre canard préféré, si le fameux trou de mémoire collective des Payernois, mis en lumière (et en droits d’auteurs…) par le désormais digne héritier du vampire de Ropraz, si ce fameux trou allait, disaisje avant que de me perdre entre deux virgules, alimenter grassement (attention typo: pas Grasset-ment…) les colonnes de notre édition annuelle et bariolée.

Eh oui : le Journal des Brandons 2009 s’appelle «Le trou». Il nous a semblé, à nous autres Plumiers, que ce dénominatif collait parfaitement à une actualité financière, économique et sociale. Et même si ce titre fera sûrement plaisir à tous les bouffeurs de trous noirs (boyaux gras), saindoux, cochonnailles et triperies adipeuses en tous genres (en cette année de Schubertiade: valable à duo, mais aussi et bien sûr, à-triaux…), dont les Payernois sont, parait-il, si friands, il ne nous était pas agréable de nous inspirer, donc, d’une autre actualité, douloureusement ravivée par un autre Jacques (pas le Saint, donc…). Ceci aurait équivalu à servir la soupe à ce «monsieur» (attention typo: ne pas oublier la minuscule…), ou plutôt à contribuer à rajouter du beurre dans ses épinards. Et cela, nous ne le voulions absolument pas!

C’est la raison pour laquelle notre journal 2009 traite d’un nombre incalculable d’autres trous en tous genres et de tous diamètres, en vous laissant à vous, chers lecteurs débonnaires, satisfaits, replets et vaniteux (pour reprendre des qualificatifs à la mode…), tout loisir d’en faire une libre traduction, au gré de vos émotions. Pour notre modeste part, nous nous féliciterons simplement d’avoir un pasteur, à Ressudens, qui, pour Irlandais et protestant qu’il soit (donc gogeant fatalement dans la graisse de porc et le saindoux…), n’en n’a pas moins, lui, les yeux en face des trous!

Pourtant, il faudra bien nous y faire: ces Brandons sont les derniers! Non pas que Vinvin et son orchestre n’arrivent plus à boucher les trous dans leur budget ou que le fameux trou de la couche d’ozone va faire des siennes, mais tous les augures nous l’ont dit et répété: Payerne et le reste du monde seront avalés, cette année, par le fameux trou du LHC (rien à voir avec les patineurs de la capitale…) et les farfelus du CERN nous enverront tous directement au trou! Tous, sans exception! Les trous de Bâle (Ville et Campagne), les bouches-trous, tous ceux qui sont au fond du trou (ou qui ne sont jamais sorti de leur trou…), sans oublier tous nos concitoyens (et ils sont nombreux…) qui boivent comme des trous!

Certains ont pris de l’avance: on les a déjà envoyé au trou! Samy et son aéro-Nef, Blocher: c’est pour bientôt… Ospel englouti par les trous qu’il a lui-même creusé, les Grandes-Rayes qui se retrouvent au bout du trou, les braqueurs à Bertrand qui n’y sont pas encore (au trou…), le musée des Beaux-arts qui a disparu dans les gros trous du M2 et les profs du gymnase (heureusement, les nôtres n’ont quand même pas osé…) qui, avec leur grève et leurs problèmes de nantis, nous prennent vraiment tous pour de véritables trous…du cul! Espérons quand même que Barack saura la sauver et qu’il sortira enfin les Ricains de tous les trous d’obus qu’ils ont semé de part le monde, ces dernières années. Quant à notre Piorne national, parti au trou (avec son mousqueton, mais sans emmental, fromage à gros trous…), espérons qu’il saura dénicher, là haut, un stand de tir adéquat pour continuer à trouer les cibles! Bref, oubliez, pour quelques heures, la crise, gare aux trous d’air et profitez bien de la fête : amusez-vous, riez, chantez (même si c’est sur le trou du volcan…) et n’oubliez surtout pas de boire un bon verre à notre santé! Attention, quand même, de ne pas avaler par le trou du milieu: vous finiriez… au milieu du trou!

Le Fossoyeur

EDITO 2008

Cochons rouges, Cochons Noirs... Ah! Les cochons! Au boiton municipal de Payerne, il y a des rouges, des noirs et même un vert d’éther. C’est le bal. Ils sont tous dans l’opposition. Chacun travaille dans son groin, les rats-dit-k.o grognent dans leur coin, les libéraux essaient de faire les foins et les autres ouin-ouin mettent leur groin de sel dans l’usine à gaz.

A l’époque, nos cochons bouffaient des glands dans les chêneraies de Boulex. On faisait des saucissons typiques et réputés. Les glands de Boulex…d’autres cochons s’en occupent maintenant. Mais ça c’est une autre histoire, un peu plus cochonne.

Et le Cochon Noir en page une? Selon notre conseiller sanitaire (B)Locher c’est un sanglier voire un cochon vietnamien. Grand chasseur (B)lo-loche raconte avec un groin d’humour son aventure lors de derniers tirs en forêt. Ce jour-là, il a failli confondre son chien avec un Cochon Noir. Un peu plus, et il y avait du gigot d’épagneul breton pour le souper!

Autres cochons, autres endroits:
L’artiste qui a dessiné l’éphémère logo communal était lui aussi un Cochon Noir. On se demande d’ailleurs ce que le municipal logorrhéique a dû raconter pour arriver à faire primer ce logo un peu Lego! Il fallait vraiment de la folie dans les groins, ce jour-là, en séance de Municipalité. Rebelote pour le logo du maillot de l’équipe suisse Euro 08! Mais là, l’avantage: le logo est invisible.

Un soir de braderie des cochons rouges et des ours blancs se sont déguisés tout en noir extraterrestre pour dessiner des cercles magiques dans le blé corçallin. Raël ignorait qu’il y avait une équipe de piotons dans le coup.

C’est comme la main invisible à Psyccard qui va planer sur l’Aéropôle! On espère que les Cochons Noirs de riverains le laisseront quand même se poser sans trop de bruit.

Ala COREB on a foutu dehors les cochons rouges qui faisaient Cochons Noirs. Maintenant on va pouvoir remettre de l’ordre dans tout le boiton régional.

A la Laiterie Centrale, on a aussi changé: un Dzo cochon Rouillé contre un Grandcotti cochon borgne. Comme son fromage, c’est un Bon Vaudois qui fera son beurre

Cette année, c’est la première à Vinvin. Homme Power des Brandons et successeur de ce Faoug de Milon, Vinvin est allé se ressourcer à l’île Maurice pour affronter ces temps de cochon. Bonne chance!

Début 2008, c’était la fin de l’année du cochon chez les Chinois (les vrais de Chine). Est-ce un cochon jaune d’architecte qui nous a bétonné le préau de l’ancienne école catholique?

2008, C’est aussi l’année du bon docteur qui nous ouvre un méga centre médical en face de la même église. On aura ainsi droit à tout: aux bons soins, aux bénédictions, aux onctions, aux services de Fino et même à la statue de notre bien aimée Marie pour allumer des Serge.

Amis lecteurs de notre Journal, séparez le bon groin de l’ivraie et rappelez-vous que dans le Cochon Noir tout est bon...!

Le Grand Mour

EDITO 2007

Cette année, c’est un titre qui pourrait nous aller à nous aussi. A nous les Plumiers du dernier survivant de la presse payernoise. En effet, lorsqu’on ouvre la case 3000, quelle Calugée! Il n’y a rien ou presque. Vous voulez lire notre Journal satirique, alors écrivez-nous! Le site avec e-mail Case 3000, c’est presque la même chose. A part des spams, des rallonges de sexe et des pilules bleues, rien à (é)tendre sur nos pages! Pourtant l’expression bien connue dans la région:”tu es bon pour la Case 3000 !” est toujours très courante. Rappelez-vous, nous ne
sommes qu’une petite équipe d’amateurs avec un Grand Mour qui dirige tant bien que mal * ses Mours et ses Mourdzet(e)s. On a de la chance que nos correspondants sollicités, répondent à nos appels pressants. Ecrivez-nous, sinon ce sera vraiment notre Calugée.

Un merci particuliers aux commerçants qui paient des annonces ...pour se faire astiquer. Pensez à eux aussi, lors de vos achats, plutôt que de monter à Avry pour gagner 2 francs !

Calugée aussi, mais politique. Après l’Astiquée 2002 voilà que les radicaux en reprennent une. Pourtant notre Journal de ’année passée s’appelait l’Inutile!

Depuis 2002 certains ne se sont pas remis de cette calugée, et régulièrement lancent leurs missiles contre les autorités en place. Quand défendront-ils la Broye avant qu’elle ne prenne une recalugée?

Nos Brandons... Le seul jour en 2006 où la planète ne s’est pas réchauffée, c’est le jour du Cortège. Pauvre Milon, pauvre comité et pauvres spectateurs: quelle calugée! Pas de cortège mais de la neige. Quelle calugée pour le caissier aussi.

Et nos Barbouilleurs qui se sont fait taper dessus lors du vernissage traditionnel des Vitrines. Il faudra mettre un Sécuritas derrière chaque bidon de peinture! Ou bien, recommencer à éduquer les gamins. L’éducation 2007 est en train de prendre ne Calugée. La Presse s’occupe plus des histoires de chiens que de l’élevage de certains Pit-bull a deux pattes.

Le Conseil des Tireurs, pour remplacer l'huissier Pascal des Opel à Renevey, a fait une belle calugée lors de l'assemblée du 3 janvier. Ce jour-là, Plomplon a sorti un grand numéro (normal
pour un crieur de loto). Duvoisin a voulu donner un coup de sac pour changer de pion en proposant un deuxième Olivier. ésultat :
Plomplon s’est retrouvé quine ! Le comité des tireurs n’a pas fait un carton: calugée pas très honorable.

Alex le déchettologue n’est plus la parole dévant-Gilles depuis que la Goutte a fait déborder la benne... Payerne a gaspillé son Piccard en coupant son envol; espérons que l’autre saura sauver l'image de notre région. Nous, les Vaudois, les ribourgeois et les riverains oeuvrons tous ensemble pour faire décoller notre région. Sinon, quelle immense calugée.

Allez calugez bien et fêtez bien, c’est une belle tradition!

Le Grand Mour

* Note de la Rédaction: plutôt mal que bien...

EDITO 2006

Après la «RABIBOCHEE 2005» INUTILE de vous dire que « L’INUTILE 2006» va dans le sens qui caractérise la Société actuelle ! Regardez autour de vous, y’en a plein et y’a bientôt plus que ça, de ces procéduriers INUTILES qui encombrent les Juges, les Magistrats, les Tribunaux, les Directeurs d’Ecole, les Avocats (quoique eux s’en mettent dans la poche, dit-on), les Autorités etc., pour faire valoir leur droit. De quel droit…à part celui d’em.. le monde et de flatter orgueilleusement leur aura ?

INUTILE, y’a tellement de choses qui ne servent à rien qui se passent ou qui existent autour de nous : même Finesse se fait «crever» INUTILEMENT et plusieurs fois les pneus de sa bécane. Les bavardages, les verbiages sont le plus souvent INUTILES eux aussi, d’ailleurs autant que les discours. Découvrez les INUTILITÉS que nous avons relevées, dans ces pages. INUTILE de vous dire que nous en avons certainement oubliées, alors à vous de compléter utilement, comme bon vous semblera, en votre âme et conscience.

Notre journal se veut satirique et caractéristique de l’esprit des Brandons, à savoir, celui de la dérision et de l’autodérision: dès lors, en tous les cas, pas INUTILE. Eh, ben là aussi, on a affaire parfois à des procéduriers qui ne comprennent rien à rien. Un petit conseil toutefois aux futurs écorchés vifs, sachez que votre article pour la plupart du temps passe comme une lettre à la poste. Par contre, quand une plainte se profile, le bouche à oreille va si vite que tout le monde s’intéressera à ce qui a été écrit sur vous. Pire, votre histoire sera lue, relue, disséquée, analysée. INUTILE de vous dire que c’est le plus bel impact que vous puissiez lui donner. Procéduriers, vous êtes de magnifiques INUTILITÉS !

Quelques soit disant brandonneurs, qui devraient en tous les cas donner l’exemple, font également dans la procédure. Quitte à nous envoyer à l’échafaud comme Davel. Où va-t-on ? Nos ancêtres du CDM doivent se retourner dans leurs tombes. Nous sommes des enfants de c(h)oeur à côté de ce qui se faisait à l’époque. Questionnez donc les anciens ! Les brandonneurs, ce sont ceux qui ont oeuvré ou qui oeuvrent pour faire vivre et maintenir cette tradition en s’investissant à fond : La Botte, Grassalard, Netty des Inquiétudes, Louly des meubles, Poil, Le Noir, Lalatte, Titi, Caco, Belle, Milon, la Merlette, Laurier, Grand Jus et tant d’autres anonymes actifs.

Dans un autre registre et pour joindre l’ INUTILE à l’agréable, on ne vous apprendra rien en affirmant que les deux derniers discours des orateurs du Tirage étaient aussi nuls l’un que l’autre. Celui de Willi ne nous a apporté que du blabla INUTILE et celui du biscuit Wernly qui se voulait meilleur que son exvoisin ne fût qu’une embrouille de militaire à la noix.

Sachez enfin que selon un auteur contemporain, les trois seules choses INUTILES en ce monde, sont : les seins d’un homme, les couilles du Pape et la DCA. Ce qui voudrait dire que tout le reste est utile ! Même tout ce que nous avons classé dans les INUTILTÉS à découvrir a fil des ces pages.
Allez comprendre !

Bonne lecture quand même et excellents Brandons à tous.

"Un mour très utile ?

Les titres précédents

  • 2023: Le Court-Jus
  • 2022: Le complot
  • 2021: Le merdier
  • 2020: La Châtelaine
  • 2019: L'incorruptible
  • 2018: Le tâte-cul
  • 2017: Le saucisson
  • 2016: La sciure
  • 2015: Le virus
  • 2014: Le vol plané
  • 2013: La déguillée
  • 2012: L'illisible
  • 2011: Le petchi
  • 2010: Le soupion
  • 2009: Le trou
  • 2008: Le Cochon noir
  • 2007: La calugée
  • 2006: L'inutile
  • 2005: La rabibochée
  • 2004: La cuite
  • 2003: Le journal de Payerne
  • 2002: L'astiquée
  • 2001: La grolle
  • 2000: La ch(i)asse
  • 1999: L'aquarium
  • 1998: Le moutz
  • 1997: La praveda
  • 1996: Le lampion
  • 1995: La poubelle année 100 ans
  • 1994: La tchaffe
  • 1993: La vergogne
  • 1992: Le gniaf
  • 1991: Le pètaîru
  • 1990: Le rabotzon
  • 1989: Le taguenet
  • 1988: La goune
  • 1987: Le ruclon
  • 1986: La purge
  • 1985: Le char à pont
  • 1984: La mornifle
  • 1983: La couerle
  • 1982: Le trabetzet
  • 1981: La pacotte
  • 1980: La tata-dzenelye
  • 1979: La méclette
  • 1978: Le cafard
  • 1977: Le fléau
  • 1976: La fileuse
  • 1975: Le quinquet
  • 1974: La pénurie
  • 1973: Les grailles-batz
  • 1972: Le bec de gaz
  • 1971: L'illusion
  • 1970: Le tête-à-queue
  • 1969: La galère
  • 1968: L'agnoti
  • 1967: L'embougné
  • 1966: La trivougne
  • 1965: L'éclipse
  • 1964: La panique
  • 1963: Le mourdzet
  • 1962: La cupesse
  • 1961: Les taborniaux
  • 1960: L'apache
  • 1959: Les grands mours
  • 1958: L'encouble
  • 1957: Le péclet
  • 1956: Le gratta-Q
  • 1955: La trouille
  • 1954: Le tavan
  • 1953: La Dzevatte
  • 1952: Le tserravoute
  • 1951: Le tourbillon
  • 1950: Le ronchonneur
  • 1949: Les dépités
  • 1948: Le merle blanc
  • 1947: Le petouillon
  • 1946: Le fouêtre
  • 1945: [ indisponible ]
  • 1944: [ indisponible ]
  • 1943: [ indisponible ]
  • 1942: Le guigne-tout
  • 1941: Le redzipet
  • 1940: Le redzipet
  • 1939: [ indisponible ]
  • 1938: L'agaçon
  • 1937: La taupe
  • 1936: Le cancan
  • 1935: La sonde
  • 1934: [ indisponible ]
  • 1933: La pommade
  • 1932: Le pétrin
  • 1931: La quinquerne
  • 1930: [ indisponible ]
  • 1929: Le piorne
  • 1928: La guêpe
  • 1927: Le grognon
  • 1926: La tapette
  • 1925: Le goûme
  • 1924: La ramassoire
  • 1923: Le mène-mour
  • 1922: Le tracasset
  • 1921: Le dzapet
  • 1920: [ indisponible ]
  • 1919: Le pétard
  • 1918: Le torchon
  • 1917: Le boyau gras
  • 1916: Le cratte
  • 1915: L'espion
  • 1914: La pétuble
  • 1913: Le founet
  • 1912: [ indisponible ]
  • 1911: Le reste-en-plan
  • 1910: [ indisponible ]
  • 1909: [ indisponible ]
  • 1908: L'aigre-doux
  • 1907: [ indisponible ]
  • 1906: Le crible
  • 1905: [ indisponible ]
  • 1904: [ indisponible ]
  • 1903: [ indisponible ]
  • 1902: [ indisponible ]
  • 1901: Le gorille
  • 1900: [ indisponible ]
  • 1899: Le gorille
  • 1898: [ indisponible ]
  • 1897: Le bobet
  • 1896: Le dari, le charivari
  • 1895: Le porc-épic